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La blague du jour

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Mistëry
07 octobre 2014, 07:40
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La montre

 

Un homme arrive précipitamment dans un hôtel et s’adresse au concierge :
– J’ai quitté ma chambre ce matin, mais j’ai oublié ma montre…C’était la 522.
Le réceptionniste semble bien ennuyé et explique :
– C’est pas de chance, car la 522 vient d’être attribuée à un jeune couple qui semblait très pressé d’y monter, si vous voyez ce que je veux dire…

L’homme décide donc d’aller récupérer l’objet lui-même.

Arrivé à l’étage, il colle son oreille à la porte et devine rapidement ce qui se passe dans la chambre.

Une voix masculine dit :
– C’est à qui ces superbes yeux en forme de noisettes…
La voix féminine répond :
– C’est à moi…
La voix masculine poursuit :
– C’est à qui ces mignons petits seins en poire…
La voix féminine répond :
– C’est à moi…
– C’est à qui ces jolies petites fesses rondes…
La voix féminine répond :
– C’est à moi…
La voix masculine dit alors :
– Et c’est à qui cette merveille-là ?

A ce moment, l’homme derrière la porte se met à crier :
– Si vous parlez de la montre de plongée sur la table de nuit, elle est à moi !



***A vaincre sans péril on triomphe sans gloire***
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Mistëry
08 octobre 2014, 07:59
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Je vous invite…

 

Un homme style élégant et BDSB (bien dans ses baskets) sort d’un supermarché poussant un caddie rempli à ras bord de marchandises et gourmandises en tout genre,  champagne,  foie gras,  saumon ,  etc …

En s’approchant du coffre de son magnifique 4X4,  il aperçoit un homme qui ramasse de rachitiques brins d’herbes poussés à travers le béton du parking  :

Le riche : Excusez moi, Monsieur,  mais que faîtes vous  ?

Le pauvre : Je ramasse de l’herbe,  c’est pour la manger,  j’en ramène aussi à la maison, on n’a plus rien !

Le riche : Ah bon !!!!  si je peux me permettre, tenez voici ma carte avec mon adresse,  venez plutôt manger à la maison !

Le pauvre : C’est gentil,  M’sieur,  mais j’ai une femme et huit mômes,  et je,  enfin ……..

Le riche : Mais,  c’est évident,  venez avec votre famille !

Le pauvre : Oh alors, ça,   c’est gentil !  mais c’est que les grands y sont déjà mariés,  pi z’ont aussi des petits !!!

Le riche : Allons,  mon ami,  je vous en prie, venez tous !

Le pauvre : Z’ êtes sur,  parce qu’y a aussi mes sœurs et mes beaux frères,  on est nombreux ……

Le riche : Je vous le dis,  j’insiste, ça me fait plaisir ,  venez tous chez moi,  l’herbe est haute comme ça,  si vous êtes nombreux en trois heures c’est fait  !!!!



***A vaincre sans péril on triomphe sans gloire***
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Mistëry
09 octobre 2014, 07:40
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Chez les cannibales

 

Deux missionnaires sont capturés par une tribu de cannibales. Les deux missionnaires sont ligotés et placés dans la grande marmite rituelle, que l’on remplit d’eau et de petits légumes.
Le feu est allumé, et l’on attend que la cuisson se fasse. Quelques minutes se passent, puis un des deux missionnaires se met à rire, mais rire…

Il ne peut plus s’arrêter. L’autre missionnaire n’en revient pas. Il demande à son copain :

– Mais enfin qu’est-ce que tu as ? Tu ne crois pas que notre situation est suffisamment critique comme ça ? On va être bouilli vivants et ensuite ils vont nous manger ! Franchement, je voudrais bien savoir ce qu’il y a de drôle dans tout ça ?…

Tout en riant l’autre lui répond :

– Je viens de faire pipi dans leur soupe….



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Mistëry
10 octobre 2014, 07:55
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La messe

 

C’est un fermier qui vit tout seul avec son chien, dans une ferme isolée de la lande irlandaise. Mais le chien est vieux, très vieux, et un beau jour, il meurt. Le fermier est bouleversé. Il s’en va voir le prêtre du village et lui dit :
– Mon père, mon chien est mort. Je n’avais que lui pour me tenir compagnie. C’était un chien foncièrement bon. Pourriez-vous dire une messe pour lui ?

Le curé lui répond :
– Hé non, malheureusement. Il nous est interdit de dire des messes pour les animaux; mais il y a une chapelle protestante au bout de la rue, peut-être qu’avec un don ils accepterient de faire quelque chose… pour votre animal.

Le fermier répond :
– D’accord. Je vais essayer auprès d’eux. Vous pensez qu’un don de 5000 euros suffirait ?

Et le curé :
– Doux Jésus ! Pourquoi ne pas m’avoir dit que votre chien était catholique ?



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Mistëry
11 octobre 2014, 07:45
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L’accident de travail

 

Monsieur l’assureur,

Je vous écris en réponse à la demande d’informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J’ai précisé :
« manque de chance » dans la case réservée aux « causes du sinistre » et vous me demandez des précisions.

Je suis couvreur de formation. Le jour de l’accident, je travaillais seul sur le toit d’un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j’ai constaté qu’il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 kg . Plutôt que de descendre les tuiles à la main, j’ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce a une poulie fixée au 6e étage.

J’ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l’immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manœuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg.

Dés que le monte-charge s’est retrouvé suspendu en l’air, j’ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n’ai pas eu la présence d’esprit de lâcher la corde.
J’ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l’immeuble et, au niveau du troisième étage, j’ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent.

Mon ascension s’est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s’est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j’avais mentionnées. Suspendu en l’air et malgré la douleur intense, je n’ai pas lâché prise.

Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol. Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j’ai commencé une rapide descente vers le bas.

Au niveau du troisième étage, comme vous l’imaginez, j’ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m’a causé qu’une simple fracture du genou.

Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l’enfoncement de la cage thoracique que j’ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé. J’ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n’ai pas eu la présence d’esprit de tenir la corde quelques secondes de plus.

J’étais donc dans l’incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide redescente…

Très cordialement.



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Mistëry
12 octobre 2014, 03:59
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Dans le désert

 

Deux jeunes hommes Jean et Paul se perdent dans le désert. Ils marchent pendant des heures et s’épuisent de soif et de fatigue.

Alors qu’ils étaient sur le point de perdre complètement espoir et s’abandonner à leur sort, ils aperçoivent le minaret d’une petite mosquée…

Ils accourent vers la mosquée, quand Jean dit à Paul : « Ce sont des musulmans, je vais leur dire que je m’appelle Mohamed
ainsi ils vont bien s’occuper de moi. »

Mais Paul n’est pas d’accord : « Non, moi je dirai la vérité.  »

L’imam de la mosquée les voit et s’approche d’eux : « Bienvenus à mes frères. Que puis-je pour vous ? »

Jean : « S’il vous plait, aidez-nous. Nous avons soif et faim, ça fait longtemps qu’on marche dans le désert. » Il hésite un peu mais il continue : « Je m’appelle Mohamed » et il pince son ami Paul.

Paul : « Moi, je m’appelle Paul » en jetant un regard coléreux à Jean.

L’imam : « Entrez, entrez et mettez-vous à l’ombre. »

Puis il s’absente un moment et revient avec un plateau de dattes fraîches, de l’eau, du lait et du pain puis leur dit : « Voilà pour Paul, quant à toi Mohamed, apparemment la chaleur t’as fait oublier que c’est le mois de Ramadan. Alors un peu de patience, il ne reste que quelques heures avant le coucher de soleil ! »



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Mistëry
23 octobre 2014, 07:21
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Les pêcheurs

 

Deux pêcheurs tranquilles au bord d’un lac en train de pêcher, superbe matinée, calme, pas un bruit si ce n’est celui de l’eau.
Tout à coup… un jeune homme en ski nautique passe devant eux comme un fou, les éclabousse dans un bruit d’enfer…

Les deux pêcheurs se lèvent en hurlant… puis se rassoient… Deux minutes plus tard… rebelote, il repasse comme un fou, et ils se relèvent en hurlant… puis cinq minutes se passent….
L’autre arrive encore une fois avec son ski nautique, passe devant les pêcheurs… tombe, coule, et ne remonte pas à la surface…

Les deux pêcheurs se regardent, attendent deux minutes, puis trois… le premier dit alors.. .je vais plonger pour le récupérer… il plonge, ramène un corps sur la berge, puis dit à son copain… il faut lui faire du bouche à bouche sinon il va mourir…

Le gars se penche au dessus de lui, s’approche de sa bouche et dit à son pote « wwwaaah ce qu’il pue de la gueule, c’est impossible »
Son pote lui dit « pousse toi je vais lui faire sinon il va crever » il se penche au-dessus et s’exclame : « wwwaaaaaah tu as raison ce qu’il pue de la gueule!! »

Son copain lui répond : « dis-donc, je me demande si on a remonté le bon, celui la il a des patins à glace… »



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Mistëry
24 octobre 2014, 06:53
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Le coup du comptoir

 

Un mec rentre dans un bar, se met au milieu du comptoir et commande une bière. Le garçon le sert et lui demande de lui régler 3 euros. Le type sort alors 3 pièces de 1 euro, en met une en face de lui, et jette les deux autres à droite et à gauche du zinc.

Le barman assez surpris ne bronche pas, prend la pièce en face de lui et va de part et d’autre du comptoir pour récupérer les 2 autres pièces. Le type boit sa bière et s’en va.

Le lendemain, il revient et recommande une bière qu’il repaye au même garçon avec 3 pièces de 1 euro dispersées le long du comptoir.

Ce cirque dure pendant 3 jours et énerve de plus en plus le barman, lorsqu’un matin le type paye sa bière avec un billet de 5 euros. Le garçon esquisse un sourire car il voit arriver l’heure de la revanche : il prend le billet (qui est en face de lui) et prend dans sa poche 2 pièces de 1 euro pour rendre la monnaie qu’il lance à gauche et à droite sur le zinc du comptoir. Le type regarde les 2 pièces qui sont à 5 mètres l’une de l’autre. Il sort alors une pièce de 1 euro de sa poche qu’il pose en face de lui en disant : « Une autre bière s’il vous plait. »



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Mistëry
25 octobre 2014, 07:30
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Le barrage de police

 

Un homme âgé est arrêté par un barrage de police vers 2 heures du matin.

Le policier lui demande où il va à cette heure de la nuit.

L’homme répond : « Je me rends à une conférence sur l’abus d’alcool et ses effets sur le corps humain, ainsi que sur le tabac et les soirées tardives. »

Le policier pas convaincu demande alors : « Vraiment, et qui est ce qui donne cette conférence à une heure pareille ? »

L’homme répond : « Ma femme. »



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Mistëry
26 octobre 2014, 03:23
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La foire aux taureaux

 

Un couple de fermiers assistent à la remise des prix à la fin d’une exposition agricole.

L’orateur commence par annoncer le dernier prix :
« Et voici le troisième prix : Arthur ! Un superbe taureau originaire du canton de Joux, en Suisse. Il pèse 945 kg et assure 9 saillies par jour »

La dame se tourne alors vers son mari, lui donne un grand coup de coude dans les côtes et lui dit :
« T’entends… »

L’orateur reprend :
« Voici maintenant le deuxième prix : Alfred, un magnifique taureau originaire du canton de Joux, en Suisse. Il pèse 995 kg et assure 12 saillies par jour »

La dame se retourne alors vers son mari, lui redonne un grand coup de coude dans les côtes et lui dit :
« T’entends… »

Après un instant de remous dans l’assistance, l’orateur reprend :
« Nous attendons tous le premier prix : Adolphe, magnifique taureau originaire du canton de Joux, en Suisse. Il pèse 1050 kg et assure 16 saillies par jour »

Même manège de la dame. Le mari, excédé, se lève, se dirige vers la tribune, demande s’il peut poser une question.
Il prend donc le micro et dit :
« Toutes les saillies dont vous venez de parler, est-ce avec la même vache ? »



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Mistëry
27 octobre 2014, 06:46
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Les cigognes

 

- Trois cigognes se rencontrent, et se demandent les unes aux autres :

– Tu vas où ?

– Hooo, je vais chez un couple qui essaye d’avoir un enfant depuis 10 ans… Je leur apporte une petite fille.

– C’est cool !

– Et toi ?

– Je vais chez une dame qui n’a jamais eu d’enfants. Je lui apporte un petit garçon !

– C’est bien, je suis sûre qu’elle va être vraiment heureuse.

– Et toi ? demandent les deux premières à la troisième cigogne.

– Moi ? Je vais juste là à côté, au couvent. Je ne leur apporte jamais rien ,mais j’adore leur foutre la trouille.



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Mistëry
28 octobre 2014, 06:03
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Au ski

 

C’est un mari et sa femme qui passent une semaine au ski.

Alors qu’ils sont dans le télécabine pour monter à 3000 mètres, la femme dit à l’oreille de son mari qu’elle a un besoin URGENT de faire pipi. Le mari lui répond de ne pas s’en faire il y a toujours un chalet restaurant à l’arrivée des télécabines. Mais à l’arrivée, le chalet restaurant est fermé…

Et voilà la dame les jambes encore plus serrées. Voyant, au cours de la descente, que sa femme ne peut plus rien faire de bon, le mari lui suggère d’aller trouver le premier groupe de rochers, et de satisfaire ce besoin pressant. Il lui dit: « Vas-y n’aie pas peur, de toute façon, personne ne te repéreras avec ta tenue blanche ! ».

Alors la femme va s’installer, mais elle garde les skis chaussés, malheureusement pour elle !
Car les skis se mettent à glisser et la voilà qui descend la pente, à reculons en plus, le cul à l’air et le pantalon de ski sur les genoux. Elle prend de la vitesse, et comme elle n’a aucun moyen de se diriger, elle continue tout droit, le cul en premier. Finalement, elle percute un pylône.

Et manquant toujours de chance elle se casse un bras dans l’histoire et elle ne peut pas remonter son pantalon de ski. Ce n’est que quand son mari vient la rejoindre que sa nudité peut enfin être cachée des yeux du public.

Ensuite, les sauveteurs viennent la chercher avec la motoneige et le brancard ; elle est amenée en bas des pistes, puis transportée à l’hôpital. Sur place, on lui pose un plâtre sur le bras, puis on la place dans la chambre d’un gars qui a la jambe dans le plâtre.

Elle engage la conversation :  » Comment vous êtes-vous cassé la jambe ?  »

Le gars lui répond :  » C’est une histoire incroyable ! J’étais sur un télésiège pour monter en haut des pistes lorsque j’ai vu une femme descendre une piste de ski, le postérieur tout nu à l’air, le pantalon de ski baissé sur les genoux, et en plus, à reculons !
Pour mieux voir, je me suis penché mais je n’ai pas réalisé que j’étais bien trop penché en dehors du télésiège, et je suis tombé. D’où ma fracture du tibia…
Et vous, comment vous êtes-vous cassé le bras ? « .



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Mistëry
29 octobre 2014, 07:27
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Le professeur de psychologie

 

Un professeur de psychologie commence son cours :
– Aujourd’hui, nous allons étudier les différents stades de la colère.

Il fait venir un téléphone dans la salle, compose un numéro au hasard et demande :
– Bonjour Madame, pourrais-je parler à Jacques, s’il vous plaît ?
– Vous faites erreur, il n’y a pas de Jacques à ce numéro.

Il se tourne alors vers les étudiants et dit :
– Vous venez d’assister à la phase de mise en condition.

Il recommence et la dame, un peu agacée, répond :
– Je vous ai déjà dit qu’il n’y avait pas de Jacques ici !

Il réitère une bonne douzaine de fois, raccroche après s’être fait hurler dessus par cette dame devenue hystérique et s’adresse à son auditoire :
– Voilà enfin le niveau ultime de la colère.

Là-dessus, un étudiant lève la main :
– Monsieur, il y a pourtant un stade supérieur.
Et, pour illustrer, il se saisit du téléphone, compose encore une fois le même numéro et dit :
– Bonjour Madame, je suis Jacques. Y a-t-il eu des messages pour moi ?



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Mistëry
30 octobre 2014, 06:37
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Les petites culottes

 

Dans la vitrine d’une boutique de lingerie fine, deux petites culottes, la petite Sloggi et la petite Lejaby, sympathisent et deviennent amies.

Mais elles sont vendues et la vie les sépare. Quelques mois plus tard, dans une machine de laverie automatique la petite Sloggi regarde une culotte, qui tourne en même temps qu’elle.

– Vous ne seriez pas la petite Lejaby, qui était en vitrine aux Galeries Lafayette ?

– Mais si ! Et vous êtes la petite Sloggy…

Elles s’embrassent et commencent à papoter.

– Moi, dit la petite Lejaby, j’ai une vie formidable. J’ai été achetée par une femme qui sort énormément. Cinéma, théâtre, ballets, concerts, opéra, ça n’arrête pas. Et comme elle s’habille très court, je vois tous les spectacles.
Et vous ?

– Moi aussi, j’ai été achetée par une femme qui sort pratiquement tous les soirs. Mais moi, je n’ai pas vôtre chance : elle ne m’emmène jamais……..



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Mistëry
31 octobre 2014, 07:43
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Mentir sans mentir

 

Elle accepte volontiers et à midi ils se rendent dans un bon restaurant. Ils prennent du vin en abondance avec le repas, ce qui rend le monsieur un peu fringant.

Il demande à la jeune fille si elle accepterait d’aller à l’hôtel avec lui.
Elle hésite un peu puis elle accepte. Ils font l’amour tout l’après-midi.

Vers cinq heures, l’homme tombe de fatigue, s’endort et ne se réveille qu’à huit heures le soir. Il dit à sa secrétaire, qui est toujours là :
–  Mon Dieu ! Ma femme va me tuer, je devais être à la maison à six heures !
Il lui dit donc:
–  Prends mes souliers et vas les passer dans l’herbe et la boue.
La secrétaire trouve cela un peu étrange mais elle le fait.

Notre homme par vite pour sa résidence. Comme il l’avait prévu, sa femme était en colère.
Elle lui demande donc :
– D’où viens-tu à cette heure ?

Il lui répond tout simplement qu’il ne pouvait pas lui mentir et il lui expliqua exactement ce qu’il s’était passé avec la secrétaire.

Sa femme le regarde avec des yeux douteux et lui dit :
–  Espèce de menteur ! Ne me raconte pas de bêtises, tu es encore allé jouer au golf, regarde tes souliers !



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